Pensées d’une autiste
- Deux jeunes hommes
- Une jeune femme
- Problème d age
- Problème d’amis
- Amour du théâtre
- Cours de théâtre le samedi après-midi
- Rapprochement cours de théâtre pour les garçons quand elle est prise
pour une démonstration : quand on met le costume on devient le personnage
- Rapprochement cours de théâtre quand elle doit montrer sa passion de la
musique, le théâtre et la danse
- Jeune fille bi
- Année 2005
- Point de vue de la fille
Bonjour, je m’appelle charlotte. Je sors du
collège, un petit collège sans
grande importance, l’année qui arrive serra ma première année sans mes
anciens amis que j’ai depuis quatre ans. Ce n’était pas la plus grande perte
que j’ai connue, vu que mes soi-disant amis n’étaient pas les genres d’amis que
je voulais dans cette nouvelle vie dont j’allais découvrir. Le lycée, quand je
dis mon soi-disant ami bien sûr je suis restée en contact avec ceux que
j’estimais le plus. Ceux qui voulaient de mes nouvelles le faisait par principe
pour ne pas avoir de mauvaises rumeurs derrière leur dos ceux qui est naturel
quand on constitue sa vie sur le regard des autres jusqu’aux points de perdre
le soit même. Dans mes quatre ans que j’ai reçus à Saint Vincent ne fut pas les
plus resplendissantes que j’ai connu. Ma quatrième et dernière année
là-bas j’ai découvert quelque chose qui à la part avant m’étais complètement
privée : la poésie fut une aventure, non l’aventure vers un endroit qui
m’étais connu a moi seul, dans mon petit coin ou personnes avaient le droit se
pénétra. Puis nous avons découvert le théâtre, quelque chose qui me donna
le plus de compréhension de mon corps. Pendant mes moments de gloire de
découverte, je fus aussi opprimer par le monde qui m’entourait. Pour mieux
m’expliquer il faut savoir que j’aime les modes un peu spécifiques depuis une
bonne partie de ma vie. Pendant un long moment, je fus attirer par la mode de
mon sang : le punk.
Ne croyez pas que je suis une fille qui
pendant de nombreuses années fut réprimée par les autres ceux fut une façon
d’exprimer mon dégoût de leur vulgarité sur les penser des autres. Je ne
pouvais pas montrer à mes camarades ce que je fus puisque c’est eux qui
m’opprimer.
Pendant ma primaire, je suis devenu autiste
puisque la vie que je vivais à cette période ne fut pas joyeuse et heureuse
donc je me suis trouvé un autre monde où mettre mes pensés même si j’avais pas d enfance horrible côté
famille, ma primaire l'était douloureuse et je fus malheureuse tout le temps.
En quelque sorte j’ai toujours ce monde, mais je ne m’échappe plus dedans,
j’assaille de le tirer dans ce monde où je dois vivre avec les autres.
Pour mon année de lycée, ma première année de
lycée, j’ai voulu prendre théâtre comme option, donc le seul endroit où je
pouvais aller pour sa fut le lycée dessaignes, j’avais peur de l’année qui
venais j’aller marcher les yeux fermer, une nouvelle expérience, un peu
extrême.
Dés mon arrivais je suis devenu un peu
singlets, je parler à tout le monde autour de moi même pas besoin de les voire
à longueur de journée non je voulais tous les connaître, même si cela voulait
dire les personnes que j’évitais d’habitude. Je me foutais des regards
constants sur moi, j’étais folle une extase nouvelle que je gardais comme quand
on goûte a un fruit nouveau.
Ce fruit qui m’était donné a l’occasion
des amis mon permis de parler tout
le temps. Pendant une semaine, je fus l’invasion, « la folle qui parlait à
tout le monde ». Ceux qui mon permis aussi de parler avec des personnes
avec qui je pensé jamais arriver à parler même des syllabes n’aurait pas pu
être exprimé. Mais non je fus libre….
Au mois de Décembre après noël, mes rêves
autistiques me sont revenu.
Je rêvais que les deux homme que je trouvais mignons
et moi nous apprenons le théâtre ensemble mutuellement comme si mon professeur de théâtre
avait découvert ma passion pour centaine chose comme l’intégration d’un personnage
et ma passion de la danse même si je ne sais pas danser.
Chaque moment de ma vie, dans mon monde
imaginaire, était une scène de théâtre pour mon regard et pas celui des autres,
je ne sais pas si même un jour, je crée ma propre pièce de théâtre quand il y a
personnes et qu’une émotion particulière m’envahit.
Chaque moment dans ce monde n’est pas toujours
heureux au contraire il peut être
le cas inverse une horrible vie, ou une partie de ma vie a ma sauce. Pendant
toutes ces années, je me suis dit c’est normal mais pourtant pourquoi on me dit
« charlotte tu te fais trop de films ».
L’humiliation dans laquelle je vivais pendant
ma primaire m'a fait une femme à nombreuse pensés, mais a un visage….
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