Wednesday, 14 March 2012

2005

 
Pensées d’une autiste
-       Deux jeunes hommes
-       Une jeune femme
-       Problème d age
-       Problème d’amis
-       Amour du théâtre
-       Cours de théâtre le samedi après-midi
-       Rapprochement cours de théâtre pour les garçons quand elle est prise pour une démonstration : quand on met le costume on devient le personnage
-       Rapprochement cours de théâtre quand elle doit montrer sa passion de la musique, le théâtre et la danse
-       Jeune fille bi
-       Année  2005
-       Point de vue de la fille

Bonjour, je m’appelle charlotte. Je sors du collège, un petit collège sans  grande importance, l’année qui arrive serra ma première année sans mes anciens amis que j’ai depuis quatre ans. Ce n’était pas la plus grande perte que j’ai connue, vu que mes soi-disant amis n’étaient pas les genres d’amis que je voulais dans cette nouvelle vie dont j’allais découvrir. Le lycée, quand je dis mon soi-disant ami bien sûr je suis restée en contact avec ceux que j’estimais le plus. Ceux qui voulaient de mes nouvelles le faisait par principe pour ne pas avoir de mauvaises rumeurs derrière leur dos ceux qui est naturel quand on constitue sa vie sur le regard des autres jusqu’aux points de perdre le soit même. Dans mes quatre ans que j’ai reçus à Saint Vincent ne fut pas les plus resplendissantes que j’ai connu. Ma quatrième et dernière année là-bas j’ai découvert quelque chose qui à la part avant m’étais complètement privée : la poésie fut une aventure, non l’aventure vers un endroit qui m’étais connu a moi seul, dans mon petit coin ou personnes avaient le droit se pénétra. Puis nous avons découvert le théâtre, quelque chose qui me donna le plus de compréhension de mon corps. Pendant mes moments de gloire de découverte, je fus aussi opprimer par le monde qui m’entourait. Pour mieux m’expliquer il faut savoir que j’aime les modes un peu spécifiques depuis une bonne partie de ma vie. Pendant un long moment, je fus attirer par la mode de mon sang : le punk.
Ne croyez pas que je suis une fille qui pendant de nombreuses années fut réprimée par les autres ceux fut une façon d’exprimer mon dégoût de leur vulgarité sur les penser des autres. Je ne pouvais pas montrer à mes camarades ce que je fus puisque c’est eux qui m’opprimer.
Pendant ma primaire, je suis devenu autiste puisque la vie que je vivais à cette période ne fut pas joyeuse et heureuse donc je me suis trouvé un autre monde où mettre mes pensés même si  j’avais pas d enfance horrible côté famille, ma primaire l'était douloureuse et je fus malheureuse tout le temps. En quelque sorte j’ai toujours ce monde, mais je ne m’échappe plus dedans, j’assaille de le tirer dans ce monde où je dois vivre avec les autres.
Pour mon année de lycée, ma première année de lycée, j’ai voulu prendre théâtre comme option, donc le seul endroit où je pouvais aller pour sa fut le lycée dessaignes, j’avais peur de l’année qui venais j’aller marcher les yeux fermer, une nouvelle expérience, un peu extrême.
Dés mon arrivais je suis devenu un peu singlets, je parler à tout le monde autour de moi même pas besoin de les voire à longueur de journée non je voulais tous les connaître, même si cela voulait dire les personnes que j’évitais d’habitude. Je me foutais des regards constants sur moi, j’étais folle une extase nouvelle que je gardais comme quand on goûte a un fruit nouveau.
Ce fruit qui m’était donné a l’occasion des  amis mon permis de parler tout le temps. Pendant une semaine, je fus l’invasion, « la folle qui parlait à tout le monde ». Ceux qui mon permis aussi de parler avec des personnes avec qui je pensé jamais arriver à parler même des syllabes n’aurait pas pu être exprimé. Mais non je fus libre….

Au mois de Décembre après noël, mes rêves autistiques me sont revenu.
Je rêvais que les deux homme que je trouvais mignons et moi nous apprenons le théâtre ensemble mutuellement  comme si mon professeur de théâtre avait découvert ma passion pour centaine chose comme l’intégration d’un personnage et ma passion de la danse même si je ne sais pas danser.
Chaque moment de ma vie, dans mon monde imaginaire, était une scène de théâtre pour mon regard et pas celui des autres, je ne sais pas si même un jour, je crée ma propre pièce de théâtre quand il y a personnes et qu’une émotion particulière m’envahit.
Chaque moment dans ce monde n’est pas toujours heureux au contraire  il peut être le cas inverse une horrible vie, ou une partie de ma vie a ma sauce. Pendant toutes ces années, je me suis dit c’est normal mais pourtant pourquoi on me dit « charlotte tu te fais trop de films ».
L’humiliation dans laquelle je vivais pendant ma primaire m'a fait une femme à nombreuse pensés, mais a un visage….

No comments:

Post a Comment